a) Après avoir envisagé le sevrage et souhaité réussir, le fumeur doit se décider à arrêter de fumer. Cette étape met en jeu non seulement son intellect mais aussi toute la partie profonde de sa personnalité.
Il faut bien dire qu’une grande majorité d’ex-fumeurs (estimée à 95% dans certaines enquêtes) ont réussi leur sevrage par leurs propres moyens et en faisant usage de leur seule volonté (self-care).
Ayant pris connaissance des dangers du tabac, soit par une information médicale, soit par une campagne antitabac, ou mieux à l’occasion de la maladie d’un proche, ils n’ont eu besoin pour se décider, que du conseil d’un médecin à l’occasion d’une maladie bénigne, de celui d’un paramédical, de celui d’un enseignant ou encore de la (douce) pression de leur entourage et/ou de l’aide d’un ou l’autre dépliant les informant des astuces à utiliser pour se défaire de leurs habitudes.
Il est toutefois une minorité de fumeurs acharnés, pharmaco-dépendants à l’égard de la nicotine, vraiment conditionnés à leur tabagisme, pour qui l’entreprise du sevrage est très laborieuse, la décision difficile à prendre, l’interruption accompagnée de symptômes désagréables.
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