Médicaments déconseillés chez les personnes consommatrices de psychotropes
Mépérine (Démérol)
Ø Ce médicament, en plus d’être connu comme ayant peu d’effets pour soulager les douleurs chroniques, libère de la normépéridine qui stimule le système nerveux central.
Ø L’accumulation de la normépéridine dans l’organisme occasionne, à long terme, des crises convulsives.
Promethazine (Phénergan)
Ø Ce médicament peut potentialiser l’effet de certains analgésiques narcotiques (opiacés).
Références :
McCaffery, M. et Vourakis, C. (1992). « Assessment and relief of pain in chemically dependent patients" » Orthopaedic Nursing, 11, 2, pp. 20-24.
Schmitz, D. (1990). « When IV drug abuse complicates AIDS ». RN, 53, 1, p. 65.
Médicaments déconseillés chez les personnes consommatrices de psychotropes (suite)
· Pour les personnes connues dépendantes à la morphine, à l’héroîne ou à d’autres narcotiques (opiacés) de type morphinique, les médicaments suivants sont déconseillés :
Ø Pentazocine (Talwin);
Ø Butorphanol (Stadol);
Ø Nalbuphine (Nubain).
· Tous ces médicaments occasionnent des symptômes de sevrage sévères.
Références :
McCaffery, M. et Vourakis, C. (1992). « Assessment and relief of pain in chemically dependent patients" » Orthopaedic Nursing, 11, 2, pp. 22.
Médicament de choix pour toutes les personnes consommatrices de psychotropes
Morphine
· Ce médicament demeure l’analgésique (opiacé) de choix pour favoriser le soulagement optimal de la douleur chez tout individu.
Références :
McCaffery, M. et Vourakis, C. (1992). « Assessment and relief of pain in chemically dependent patients" » Orthopaedic Nursing, 11, 2, pp. 22.
* à suivre *
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