Étude américaine
Les résultats d’une étude menée auprès de 8 patients atteints d’un cancer et ayant une histoire de consommation de psychotropes IV, mais ayant cessé pour plus d’un an, ont démontré que :
Ø 5 des personnes n’ont pas été soulagées adéquatement car les intervenants craignaient une dépendance.
Références :
Macaluso, D., Weinberg, D. et Foley, K.M. (1988). « Opioid abuse and misuse in a cancer pain population ». Journal of pain and symptom Management, 3,3, S24.
Soulagement optimal de la douleur
Obstacles
Manque de connaissances
Divergence de perceptions
Obstacles d’ordre institutionnel
Attitude autoritaire (évaluation subjective de l’intervenant)
Absence d’une concertation interdisciplinaire
Persistance de plusieurs mythes (morphine administrée en phase terminale seulement, absence de douleur pendant le sommeil ou lorsque la personne est souriante ou encore lorsque les signes vitaux se situent selon les limites normales).
Références :
Foucault, C. (1995). Évaluation de la douleur, Notes personnelles de la conférence prononcée dans le cadre de la rencontre des infirmières des UHRESS et des Centres hospitaliers satellites, le 17 mars 1995.
Soulagement optimal de la douleur
Études américaines
Les résultats d’une étude menée auprès de 8 patients atteints d’un cancer et ayant une histoire de consommation de psychotropes IV, mais ayant cessé pour plus d’un an, ont démontré que :
Ø 5 personnes n’ont pas été soulagées adéquatement car les intervenants craignaient une dépendance.
Références :
Macaluso, D., Weinberg, D. et Foley, K.M (1988). Opioid abuse and misuse in a cancer pain population ». Journal of pain and symptom Management, 3, 3, S24.
* à suivre *
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