Ils font appel au langage du « cerveau droit », celui du monde des fantaisies, des images, des contes, des souvenirs, de l’image que l’on peut se créer de soi-même. Ils insistent surtout sur l’image de non-esclavage, de liberté retrouvée, et recourent à des techniques hypnotiques pour favoriser une réceptivité accrue des participants : faisant appel à des souvenirs agréables associés à l’abandon du tabagisme, en recourant à la suggestion auprès des participants dans un état de relaxation physique et psychique (yeux fermés), ils obtiennent une communication intense avec le thérapeute.
Ils essaient surtout de faire passer le message essentiel qui est : « Je n’ai pas besoin de cela pour vivre ». Ils appliquent aussi la thérapie comportementale en s’efforçant, par l’évocation de stimuli, nociceptifs imaginaires, de déclencher une réaction de dégoût durable et de substituer aux réflexes conditionnés de fumer une inhibition conditionnée vis-à-vis du tabac, notamment en développant le sentiment de sûreté de soi.
* à suivre *
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