En dépit de ce qui a été mentionné précédemment, il existe de toute évidence des retraités qui maintiennent leur identité (Athley, 1972).
Comme le souligne le présent rapport :
Des études réalisées sur l’adaptation à la retraite n’ont pas permis de mettre
en évidence une incidence élevée des traumatismes si souvent associés à
l’abandon du travail. En effet, elles tendent plutôt à démontrer que ce
tournant apparemment dramatique dans le mode de vie semble s’effectuer avec
succès dans la majorité des cas (Conseil Consultatif National Sur Le Troisième
Âge, 1983, p. 15).
Kalish (1975) est également d’avis que les retraités peuvent s’adapter malgré toutes les pertes et bouleversements de tout ordre (mentionné dans l’Écuyer, 1978). Toutefois Reboul (1973), présume que l’adaptation à une vie nouvelle se fera différemment selon le vécu de chacun et sa capacité de s’adapter au présent.
Perry (1980) quant à lui, propose d’adopter une attitude positive et des idées réalistes concernant la vie quotidienne à la retraite. Celui-ci insiste également sur le fait de se définir au préalable un plan de retraite et de pré-retraite.
* à suivre *
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