Néanmoins, le docteur a bien l'impression qu'elle existe, cette sacrée hormone: "l'endorphine et d'autres protéines humaines auraient les mêmes effets que la morphine. Elles donneraient une sensation de bien-être et seraient secrétées dès que l'individu effectuerait une activité physique suffisamment exténuante comme les ébats sexuels. De plus, la libido pourrait être modifiée par la fréquence avec laquelle le cortex surrénalien (partie du cerveau) secrète les hormones androgènes, c'est-à-dire les testostérones chez les hommes, l'oestrogène et la progesterone chez les femmes."
* à suivre *
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