Toutefois, selon le Dr. Rock Carbonneau, il est plus probable que le problème se situe du côté de l'accueil que leur réservent les différentes cellules. L'hormone, comme une clé, tenterait de s'introduire à l'intérieur de la serrure (structure chimique) de chaque cellule, dont la forme est héréditaire; d'où la divergence d'une personne à l'autre. Les sexoliques seraient dotés de cellules hyper- réceptives. De bien plus belles hypothèses d'experts qui n'ont pas toujours aidé Gaëtan. Sa vie a été bouleversée par un événement, un seuil. Il a été abusé sexuellement par son frère lorsqu'il avait 3 ans. Son cas n'est pas unique. Chez les sexoliques, 81 pourcent auraient subi le même sort. "Le problème est qu'il y a un mélange de deux réactions dans l'agression: le sentiment d'avoir subi le pouvoir de l'autre dans la partie la plus intime de son être et la ferme conviction que c'est la seule façon d'avoir de l'attention. Tout cela modifie considérablement les comportements relationnels, dit-il.
* à suivre *
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