Déficience mentale.
Les études effectuées jusqu’à maintenant signalent que la déficience mentale, à des degrés variables, constitue probablement le handicap le plus frappant que l’on retrouve chez les enfants qui présentent le syndrome alcoolique fœtal (Streissguth, 1976, p.140). On a essayé de diverses façons d’évaluer le degré d’arriération mentale liée à l’affection. Une étude antérieure effectuée par Streissguth (1976) signalait qu’à sept ans, les enfants de 18 femmes choisies rétrospectivement pour avoir été alcooliques pendant la grossesse, présentent un QI beaucoup lus bas que les enfants du groupe témoin (QI moyen de 81 par rapport à 95 pour les témoins). Le rapport apparemment élevé de déficience mentale pour les sujets témoins s’explique probablement par les variables socio-économiques, étant donné que les sujets étaient appariés aux mères alcooliques pour un certain nombre de variables. Jones, Smith et Streissguth (1974) ont étudié 23 enfants de mères alcooliques chroniques avec deux témoins pour chacun. Ils ont signalé que 44% des enfants du groupe alcoolique avaient à l’âge de 7 ans un QI de 79 ou moins. Ils avaient fait une étude rétrospective, les dossiers avaient été passés en revue et le groupe alcoolique choisi « après coup ». Ce sont peut-être des soins maternels inadéquats qui ont grandement contribué aux plus faibles QI notés chez les enfants de sept ans du groupe alcoolique.
Les études effectuées jusqu’à maintenant signalent que la déficience mentale, à des degrés variables, constitue probablement le handicap le plus frappant que l’on retrouve chez les enfants qui présentent le syndrome alcoolique fœtal (Streissguth, 1976, p.140). On a essayé de diverses façons d’évaluer le degré d’arriération mentale liée à l’affection. Une étude antérieure effectuée par Streissguth (1976) signalait qu’à sept ans, les enfants de 18 femmes choisies rétrospectivement pour avoir été alcooliques pendant la grossesse, présentent un QI beaucoup lus bas que les enfants du groupe témoin (QI moyen de 81 par rapport à 95 pour les témoins). Le rapport apparemment élevé de déficience mentale pour les sujets témoins s’explique probablement par les variables socio-économiques, étant donné que les sujets étaient appariés aux mères alcooliques pour un certain nombre de variables. Jones, Smith et Streissguth (1974) ont étudié 23 enfants de mères alcooliques chroniques avec deux témoins pour chacun. Ils ont signalé que 44% des enfants du groupe alcoolique avaient à l’âge de 7 ans un QI de 79 ou moins. Ils avaient fait une étude rétrospective, les dossiers avaient été passés en revue et le groupe alcoolique choisi « après coup ». Ce sont peut-être des soins maternels inadéquats qui ont grandement contribué aux plus faibles QI notés chez les enfants de sept ans du groupe alcoolique.
* à suivre *
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