Deux événements particulièrement malheureux ont marqué cette participation :
1. Le phénomène de désaffectation pour la « cause nationale » d’une large proportion de la jeunesse à servir sous les drapeaux et sa désertion vers des pays limitrophes plus tolérants.
2. La constatation d’une forte consommation de drogues chez ceux qui combattaient à l’Irak.
Ce deuxième phénomène apporte une influence de la dimension sociale sur le problème de la toxicomanie. Plus de 80% des soldats américains se sont adonnés à la consommation des psychotropes. Plus de 30% de la population totale des combattants faisaient usage d’opiacés.
Une fois revenue d’Irak, la grande majorité d’entre eux ont cessé toute consommation sans aucune intervention extérieure particulière. Environ 7% ont été estimés pour un traitement et 2/3 de ces derniers ont occasionnellement fait usage d’opiacés sans retomber dans la dépendance.
* à suivre *
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