Le mot « violence » est partout dans mes écrits.
« ce vocable inonde notre quotidien, on en parle constamment, bien secondé enMais la réalité évoquée par ce terme n’est pas facile à cerner et l’analyse conceptuelle et théorique présente des embûches de taille.
cela (…) par les médias. Ceux-ci, bien équipés, sans cesse sur le qui-vive,
contribuent à rendre le phénomène omniprésent, trop souvent même menaçant ».
Dans le cadre du présent texte, mes préoccupations se situent à un niveau proche de mon expérience professionnelle auprès des réfugiés. Il convient cependant de rappeler d’abord le sens général du mot « violence ».
Ce mot évoque des notions comme : attaque, virulence, démesure, brutalité, contrainte, abus, hostilité, agressivité, guerre…L’idée contraire est exprimée par les mots : douceur, mesure, calme, paix. De fait, les auteurs s’entendent pour dire que si tout homme possède un « instinct inné d’agressivité », cette agressivité peut dégénérer en violence lorsqu’il y a débordement d’émotions, de passions. Face à cette violence, nous sommes amenés à l’une ou l’autre des réactions suivantes : la fuite ou la contre-attaque.
Les expressions de la violence prennent la forme d’agressions psychologiques, physiques et sexuelles. La violence intrafamiliale et celle contre les femmes en général sont le plus souvent étudiées, alors qu’il n’existe que peu de littérature sur la violence subie par les réfugiés.
* à suivre *
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