mercredi 26 août 2009

Retour au Bercail - 5e partie

La réintégration à la routine de la vie familiale offre à l’ex-malade et à sa famille plusieurs occasions discrètes de se montrer leur affection mutuelle et permanente. Les étreintes, les conversations, les moments passés à regarder la télévision, les confidences, sont tous des occasions de démontrer l’attention que l’on porte à l’ex=malade, chose très importante. Il est également important de savoir que l’absence de réactions familières chez l’ex-malade ne signifie pas un désintéressement. Le retour de celles-ci se fera lentement.

Doit-on lui permettre de rencontrer d’autres ex-malades? En premier lieu, il faut éviter de le décourager lorsqu’il manifeste de l’intérêt pour une activité raisonnable avant de l’avoir considérée avec attention; ensuite, comment pourrait-on raisonnablement l’empêcher? Le malade devrait-il conduire une voiture? On ne peut pas simplement dire non en évoquant la maladie; chaque cas devrait être analysé individuellement. En cas de doute, il vaut mieux consulter le médecin traitant, autrement les règles générales de la famille s’appliquent. Devant tous ces choix, il est préférable d’essayer d’abord, puis d’évaluer le résultat.

* à suivre *

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