jeudi 13 novembre 2008

Au Compte-goutte - La Dépendance Sexuelle 11e

Existerait-il une hormone du samedi soir qui propulserait directement les sexoliques dans les tumultes de leur dépendance? Selon le Dr. Rock Carbonneau, du département de biologie de l'université de Montréal, les études sérieuses en ce domaine ne dâtent que les anéées 70 et les chercheurs en sont à leurs premiers balbutiements.

Néanmoins, le docteur a bien l'impression qu'elle existe, cette sacrée hormone: "l'endorphine et d'autres protéines humaines auraient les mêmes effets que la morphine. Elles donneraient une sensation de bien-être et seraient secrétées dès que l'individu effectuerait une activité physique suffisamment exténuante comme les ébats sexuels. De plus, la libido pourrait être modifiée par la fréquence avec laquelle le cortex surrénalien (partie du cerveau) secrète les hormones androgènes, c'est-à-dire les testostérones chez les hommes, l'oestrogène et la progesterone chez les femmes."

* à suivre *

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