lundi 22 juin 2009

La Mort - 7e partie

La mort : un affaissement, le retrait d’un regard, L’abandon du maintenir, par l’exigence de la quatrième dimension, - dite souvent le double, ou dédoublement -, de l’existence de la troisième dimension, la mort du corps, le corps, comme le double corporo-spirituel de la spriritualité, c’est-à-dire, seulement l’idée qu’a encore l’Humain, de son état spirituel : l’âme, l’esprit, la pensée, quelquefois, la connaissance.

La mort est temporelle parce qu’elle prend naissance. Parce qu’elle prend naissance dans le quotidien. Parce qu’elle naît dans la chair. Elle commence, débute une vie. Naître dans la chair. Elle commence, début une vie. Naître implique une fin et la fin corporelle n’a d’éternité que l’os et encore là, sous forme poussière, sous forme terreuse. Vivre devrait nous dire : unir. Un trait-d’union entre le naître et le mourir.

* à suivre *

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